28 mars 2006
in the cold arms of the absence ...
Donner une raison extérieure et définissable à un malheur me rassure.
Aussi, je préfère me réfugier dans la nostalgie de ce que j'ai perdu
Plutôt que dans le manque impalpable de ce que je voudrais pour demain.
Il en faudra du courage, à la prochaine qui me prendra dans ses bras.
Il lui en faudra de la volonté
Il lui en faudra de l'amour.
Et je me dis que , finalement
Rien n'ai perdu puisqu'elle est encore espérée.
Rêvée.
Attendue.
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